Les quelques informations disponibles révèlent que l’algorithme discrimine délibérément les précarisé·e·s. Ainsi, parmi les éléments que l’algorithme associe à un risque élevé d’abus, et impactant donc négativement la note d’un·e allocataire, on trouve le fait7 :
– D’avoir des revenus faibles,
– D’être au chômage ou de ne pas avoir de travail stable,
– D’être un parent isolé (80% des parents isolés sont des femmes)8,
– De dédier une part importante de ses revenus pour se loger,
– D’avoir de nombreux contacts avec la CAF (pour celleux qui oseraient demander de l’aide),